Philipp Andreas Kilian

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Philipp Andreas Kilian
Portrait Philipp Andreas Kilian d'après Georg Christoph Kilian.
Biographie
Naissance
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AugsbourgVoir et modifier les données sur Wikidata
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 44 ans)
AugsbourgVoir et modifier les données sur Wikidata
Activités
Graveur sur cuivre, éditeur, dessinateurVoir et modifier les données sur Wikidata
Période d'activité
-Voir et modifier les données sur Wikidata
Famille
Famille KilianVoir et modifier les données sur Wikidata
Père
Georg KilianVoir et modifier les données sur Wikidata
Fratrie
Georg Christoph KilianVoir et modifier les données sur Wikidata
Enfant
Georg Martin KilianVoir et modifier les données sur Wikidata

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Philipp Andreas Kilian, né le à Augsbourg et mort dans la même ville, est un graveur.

Biographie

Philipp Andreas Kilian naît le à Augsbourg[1].

Il est un des fils de Georg[2]. Après avoir appris l'art de graver sous la direction de Friderich et de Martin Preesler, il parcourt l'Allemagne, et séjourne dans les Pays-Bas pour se perfectionner dans son art auprès des principaux maîtres[2]. De retour dans sa ville natale, il y est nommé graveur de la cour de Saxe par Auguste III, roi de Pologne, qui cherche en vain à l'attirer à Dresde[2].

Philipp Andreas Kilian meurt dans sa ville natale[1].

Œuvres

Après avoir gravé plusieurs planches pour la galerie du comte de Brühl, ainsi que pour la galerie de Dresde, Philipp Andreas Kilian publie, sous le titre de Picturæ Veteris et Novi Testamenti, un recueil estimé de cent trente gravures, représentant les principaux sujets bibliques d'après les peintres les plus célèbres[2].

Parmi ses autres gravures, on remarque : Les quatre Docteurs de l'Église, d'après Dosso Dossi; La Vierge dans sa Gloire, d'après le Corrége; Le Christ chassant les marchands du temple, d'après Bassano; La Femme adultère, d'après le Tintoret; L'Adoration des Mages, d'après P. Véronèse; Sainte Cécile, d'après Carlo Dolce; Les hauts Faits des Médicis, d'après les fresques de Franceschini, 10 feuilles; — les portraits de François 1er, empereur d'Allemagne, de Frédéric le Grand, de Ferdinand de Brunswick, de la comtesse de Hohenlohe, de son beau-père Engelbrecht, etc.[3].

Références

  1. ↑ a et b Pilz 1977, p. 604.
  2. ↑ a b c et d E. G. 1858, p. 723.
  3. ↑ E. G. 1858, p. 723-724.

Annexes

Article connexe

Bibliographie

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Classement par ordre chronologique :

  • [E. G. 1858] E. G., « Kilian (Philippe-André) », dans Nouvelle biographie universelle, vol. 27, (lire en ligne), p. 723-724. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • [Pilz 1977] (de) Kurt Pilz, « Kilian, Philipp Andreas », dans Neue Deutsche Biographie, vol. 11, Berlin, Duncker & Humblot, (ISBN 3-428-00192-3, lire en ligne), p. 604-605 (original numérisé)Document utilisé pour la rédaction de l’article

Liens externes

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